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  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    j’avais peine à croire à leur réalité
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    De toute façon, on est toujours un peu fautif.
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    Par exemple, j’étais tourmenté par le désir d’une femme. C’était naturel, j’étais jeune. Je ne pensais jamais à Marie particulièrement.
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    Moi j’écoutais et j’entendais qu’on me jugeait intelligent. Mais je ne comprenais pas bien comment les qualités d’un homme ordinaire pouvaient devenir des charges écrasantes contre un coupable
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    « Eh bien, je mourrai donc. » Plus tôt que d’autres, c’était évident. Mais tout le monde sait que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue.
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    Selon lui, la justice des hommes n’était rien et la justice de Dieu tout. J’ai remarqué que c’était la première qui m’avait condamné.
  • Aya ANOUARidézett2 évvel ezelőtt
    Que m’importaient la mort des autres, l’amour d’une mère, que m’importaient son Dieu, les vies qu’on choisit, les destins qu’on élit, puisqu’un seul destin devait m’élire moi-même et avec moi des milliards de privilégiés qui, comme lui, se disaient mes frères. Comprenait-il donc ? Tout le monde était privilégié. Il n’y avait que des privilégiés. Les autres aussi, on les condamnerait un jour. Lui aussi, on le condamnerait. Qu’importait si, accusé de meurtre, il était exécuté pour n’avoir pas pleuré à l’enterrement de sa mère ?
  • b4962740516idézettelőző év
    revêtu une allure plus officielle.
  • mayongaexauce7idézett8 hónappal ezelőtt
    le brun du soleil lui faisait un visage de fleur.
  • mayongaexauce7idézett8 hónappal ezelőtt
    c'était bon de sentir la nuit d'été couler sur nos corps bruns.
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