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Stefan Zweig

  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    Il y a tant de pureté dans cet amour obstiné et métaphysique qu'il devient presque lucide et réjouissant ; comme un secret qui la rassure et la construit. Il y a un écho si intime en chacune de nous, un doux soupir lancinant et cruel qui nous ramène à nos démons les plus enfouis.
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    L'histoire d'un cœur disposé à aimer et à mourir ; d'un cœur sans limites qui se consume avec candeur et mysticisme, l'histoire d'un cœur illuminé qui se raconte et se met à nu face à un homme aimé toute une vie.
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    L'histoire d'un cœur disposé à aimer et à mourir ; d'un cœur sans limites qui se consume avec candeur et mysticisme, l'histoire d'un cœur illuminé qui se raconte et se met à nu face à un homme aimé toute une vie.
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    Elle choisit un être abandonnant, auquel elle enlace son âme abîmée et accepte sans résistance et sans regret cette bataille livrée contre elle-même. Une héroïne digne de Henry James telle une « bête dans la jungle » elle nous émeut et nous sourit. Ne pas se reconnaître soi-même, nous amène à ne pas être reconnu.
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    Je n'ai que toi, toi qui ne m'as jamais connue et que j'ai toujours aimé.
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    qui toujours poursuis ta route et me laisses dans l'attente éternelle ?
  • Nay Haidézett2 évvel ezelőtt
    Ne voudrais-tu pas me donner une de tes roses blanches ? dis-je. — Volontiers !” répondis-tu. Et, immédiatement, tu en pris une. “Mais, peut-être est-ce une femme qui te les a données, une femme qui t'aime ? remarquai-je. — Peut-être, dis-tu, mais je l'ignore. Elles m'ont été données je ne sais par qui, c'est pourquoi je les aime.” Je te regardai. “Peut-être aussi viennent-elles d'une femme que tu as oubliée ?”
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